2 juin 2009
L'obsession cyclique, celle qui chaque minutes,
L'obsession cyclique, celle qui chaque minutes, comme une pendule régulière trop parfaite, rend mes prunelles aveugles, celle qui me nargue avec toujours ce même visage souriant. Détestable. Il faut tuer l'image. Déchirer, hacher, broyer. Mettre en pièce!
Pour écrire il faut pouvoir se pencher au bord du précipice et savoir regarder les pires immondices. Moi, je garde les mains serrées trés fort devant mes yeux, je refuse de voir l'horrible mascarade interne. Pour ça j'ai beaucoup trop peur, je préférerai tomber.
(Détail de Déchirure de J. Lefevre)
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