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A la mémoire du vide
5 juin 2009

J'ai étais d'une naïveté pitoyable. Je n'en

     J'ai étais d'une naïveté pitoyable. Je n'en reviens pas. Je n'aurais peut-être pas dus mais j'ai cru en ces quelques mots. C'est si compliqué la vérité? Continuez de vous enfoncer, mais par pitié laissez moi en dehors de tout ça. Je suis fatiguée. Mensonges, échecs, douleurs, présence, aide sincère et puis de nouveau mensonges, échecs, douleurs. Ce cercle sans fin ne m'intéresse pas. Le silence est plus recommandable que vos non dit.

     Je ne sais plus ce que j'ai envie de vivre, d'ailleurs vivre, je n'en ai jamais eu envie. Je voudrais faire une belle phrase travaillée, jouer avec la langue française, mais vous m'excuserez, l'ardeur s'est eclipsée.

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